Censure

Conakry/ Quand les violences font les affaires des vendeurs de carburant au marché noir

Le dicton le dit souvent : « le malheur des uns fait le bonheur des autres. » Cette image prise par un journaliste de Guinee7.com, au quartier Gbessia (banlieue de Conakry), en ce lundi de ville morte de l’opposition, de grève du SLECG et de manifestations sociales, en dit long sur le business du carburant lors des périodes troubles. Dans la grande majorité des stations (fermées ce lundi) les pompistes ont cédé la place aux vendeurs clandestins de carburant.

A Gbessia, cette station est l’une des rares ouvertes en ce jour. Mais elle reçoit des clients inhabituels. En lieu et place des engins roulants, c’est plutôt des bidons de 20 litres qui sont remplis. Ils appartiennent pour plus de la moitié à des femmes qui profitent bien de la fermeture des stations pour servir les engins.

focus de Guinee7.com

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