Il y a des images que le temps fige. Elles rendent les longs discours superflus. Ces moments restent gravés dans la pierre, gravés dans la roche. Ils racontent la modestie d’un homme. Ils disent la faiblesse d’un soldat. Ils rapportent la vulnérabilité d’un Général, la main sur le cœur, la buée de larmes à l’œil Devant la famille. Devant frères et sœurs. Devant mères, tantes et épouses. Venues exprimer leur fierté à l’enfant du pays.
Ce jour de décembre 2025, lorsque le Général Amara Camara avance vers la foule, lorsqu’il se met à genou et se relève avec l’aide de son garde du corps, ce n’est pas le Ministre Secrétaire Général de la Présidence que la foule voit, mais le fils du Konia. En s’agenouillant avec humilité devant une marée humaine, le Général brise la ligne verticale entre le sommet et la base. Cela s’est passé. Cela se passe, puisqu’à ce moment précis, il est traversé par l’humilité de celui dont il porte le message: Mamadi Doumbouya. C’est au nom de cet homme qu’il s’adresse aux siens dans la langue du terroir. Ses mots viennent du cœur de celui-ci. Amara explique le Projet de Société de l’homme du 05 septembre. Il martèle son bilan. Il pousse la voix à s’en rompre les cordes pour transmettre un message prometteur. Promesses du candidat. Engagements de lendemains meilleurs pour notre pays. Les résultats enregistrés depuis quatre ans en font foi. Chaque phrase qu’il formule, chaque mot qu’il dit, chaque lettre jure par la certitude que le candidat de la Génération pour la Modernité et le Développement est le meilleur choix à faire pour la Guinée le 28 décembre 2025.
Ainsi, après les mobilisations de Kankan, N’Zérékoré et Guéckédou, Macenta, le Général Amara et les Ministres qui l’accompagnent ouvrent une nouvelle ville dont ils ramènent la clé à Mamadi. La ville ne s’est pas contentée de mobiliser. Elle a envoyé un signal fort au reste du pays. « le 28 décembre 2025, nous ne voterons pas simplement pour un nom sur un bulletin. Nous voterons pour l’avenir de nos enfants. Ici, c’est Mamadi Doumbouya. À bon entendeur, salut! ».
Alors, dans un stade préfectoral plein comme un œuf, le Général Amara Camara a pris le temps d’expliquer pédagogiquement aux citoyens la procédure de vote, rappelant que le candidat de la GMD figure en première position sur le bulletin. Dans un souci de réduction des bulletins nuls, il a invité les électeurs à utiliser le stylo dans l’isoloir plutôt que l’encre, tout en brandissant sa propre carte d’électeur pour encourager les citoyens à se munir des leurs.
Cette grande mobilisation, à Macenta aussi, traduit une reconnaissance tangible des actions réalisées par le candidat Mamadi Doumbouya, notamment la relance de l’usine de thé de Macenta, symbole de la renaissance économique locale.
Enfin, puisque comme on dit chez nous, “l’amusement ne gâte pas le sérieux”, ou mieux encore, “joindre l’utile à l’agréable”, le Général, improvisé animateur du jour, a lancé un concours de danse entre ses collègues. On ne va pas dire qui a gagné. Les réseaux sauront mieux vous rencarder. Ce qui est sûr, c’est que la joie immense. Et certains diront qu’un(e) Ministre ne danse pas ou qu’un officier ne joue pas à l’animateur. Ils pourraient par ailleurs crier qu’un Général ne se met jamais à genou. Il ne plie jamais. Mais ce jour, au cœur du Konia, un fils, fût-il Général, s’est mis à genou, terrassé par l’émotion. Parce qu’il était heureux. Puisque face à ses parents il était porteur d’un message. Celui de Mamadi Doumbouya. Pour la Guinée: la Bâtir Ensemble!
PÔLE COMMUNICATION / Bâtir Ensemble
